| Livre de poche "Le sommeil vient du ciel", disponible chez votre marchand de sable | |
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Glyde Rest in Fly
Messages : 39 Date d'inscription : 20/02/2019
Qui suis-je? Faction: Groupe: Mon Equipe:
| Sujet: Livre de poche "Le sommeil vient du ciel", disponible chez votre marchand de sable Mer 20 Fév 2019 - 17:58 | | | Espèce: Scorvol Sexe: Masculin Nom: Glyde Capacité Spéciale: Voile Sable Rang désiré: Rest in Fly Groupe: Pokemon Niveau: 31 Âge (équivalent humain): 18 ans environ Histoire:- Introduction:
Texte 1 0 Passerelle Résumé de Sinnoh
(Ne faites pas attention aux ratures, je n’avais juste pas d’idée pour le titre.) Je comptais inaugurer ce deuxième carnet de voyage par un compte-rendu de journée habituel mais après réflexion, il serait préférable de faire un résumé de son prédécesseur. En fait, l’appellation "carnet de voyage" est un peu périmée. Le premier comprend la partie de ma vie à Sinnoh, dont ma traversée de la région mais aussi mon enfance… les trois premiers années de ma vie, en somme. Le second (celui dans lequel j’écris actuellement) sera réservé à mon séjour dans la région de Maïlys. Bon… Ça va être assez long vu le nombre de pages envahies par les lettres Zarbi dans l’ancien ; le tout sera découpé en différentes parties pour éviter de me/vous perdre.
- Partie 1 :
Je suis né à Sinnoh, un archipel perdu je-ne-sais-où dans l’océan, comme j’ai l’ai déjà écrit plus haut. Ma mère m’a élevé seule dans une falaise à côté d’une petite ville d’humains nommée "Floraville". Je lui dois un peu tout, à commencer par mon nom. "Glyde"... Son unique rôle était de me différencier des autres Scorplanes, d’après elle. Je ne sais pas vraiment s’il avait un sens – ni même une utilité, vu le manque de Pokemon à côtoyer. Peu d’entre eux aimaient vivre sur des pentes verticales et les quelques uns qui osaient s’y aventurer étaient vite chassés par ma mère. Son mauvais caractère avec les étrangers était connu jusque dans la forêt voisine et nous accompagnait à chaque sorties hors du nid. Je me demande encore si elle le faisait par peur des autres ou pour nous protéger. Mais ne vous méprenez pas ! Elle pouvait se montrer douce et attentionnée, principalement (exclusivement) avec moi. C’est grâce à elle que je peux écrire et que j’ai pu découvrir les joies de la cosmogonie en plus de celles du vol, de la chasse et du combat.
Peu à peu, je commençais à développer une envie de partir du nid ; je voulais moi-même étudier les lieux liés à nos dieux et enfin me libérer de notre image. Cette idée de voyage se transforma en source de conflit lorsque ma mère l’apprit, et c’est elle qui eut le dernier mot de nous deux. La question fut finalement tranchée par un tiers, sans notre accord bien évidemment. Yveltal, penchant en ma faveur, avait envoyé pour persuader ma mère son meilleur agent en la personne de la maladie incurable. Au bout de six mois de négociations infructueuses, elle perdit patience et régla le problème en l’emportant définitivement loin de moi. La séparation brusque ne fut pas facile à endurer ; j’aurais préféré ne pas en arriver là. Enfin bref, je n’avais plus aucune raison de rester : aucun proche auquel s’attacher, aucun ami, seulement un habitat devenu tombeau. C’est ainsi à l’âge de quarante-sept mois, au surlendemain de la mort de ma mère et avec pour seul souvenir son pendentif en forme de croc, que je partis de la falaise pour découvrir le monde par moi-même. Je me rends compte maintenant qu’un nouveau motif s’était progressivement rajouté à ma quête d’aventure, motif auquel je n’avais jamais voulu me confronter : fuir à tout prix mon ancienne vie.
- Partie 2 :
Je ne trouve pas de termes assez précis pour qualifier les première jours de mon voyage à part le mot vide. Sérieusement, je ne faisais que voler, chasser quand j’avais faim, dormir quand j’avais sommeil… Tout comme avant, sauf que n’avais pas de lieu fixe où dormir. D’ailleurs, je devais souvent me battre pour avoir un abri décent – des histoires de violation de territoire. Même si tout se passait techniquement bien, un sentiment étrange commençait à prendre la place de l’excitation du départ. Avec du recul, je peux maintenant me le décrire plus précisément qu’à l’époque : le moi jeune avait dû mal à faire son deuil et surtout à se l’avouer. La culpabilité se mêlait avec l’anxiété de gravir un jour ou l’autre l’immense montagne qui se dressait entre moi et ma destination. Ils hantaient mes pensées à longueur de journée, m’empêchant de me concentrer sur les nouveaux paysages qui s’offraient à moi (c’est-à-dire des forêts et des rivières… Rien de bien nouveau, en fait). Ce sentiment ne s’est jamais vraiment en aller – mais une irruption opportune dans ma vie a réussi à la repousser pour moi.
J’arrivai enfin au pied du mont tant redouté au bout du premier mois. Après quelques temps de réflexion, et surtout de craintes, je décidai de la gravir par manque de voies courtes pour la contourner. Il y avait bien les sentiers créés par les humains mais… les humains. Leur capacité à enfermer des Pokemons pour leur profits me faisait plus peur que la neige en altitude, au point de me précipiter au lieu de me faire trouver une meilleure route. S’ensuivit l’expérience la plus bénéfique de mon périple, au pris de ma première tentative d’escalade. Au fur et à mesure de mon ascension, je comprenais qu’elle était vouée à l’échec. Mon mental s’amenuisait devant ce sommet toujours aussi lointain. Quant à mon corps, il éprouvait de plus en plus le besoin de se reposer. J’avais déjà ressenti ce phénomène lors des jours qui suivait mon départ – des problèmes à m’endormir ou à rester éveillé selon le cycle normal jour-nuit. Mais rien d’aussi handicapant : l’altitude parcourue par jour régressait, jusqu’au moment où elle devint négative. Même aujourd’hui je ne me souviens de ce qu’il s’est passé, seulement ceux d’une chute violente, d’un paysage tournoyant, d’une douleur aiguë et d’un voile noire. Un black-out en bonne et due forme.
Merci Arceus, le Scorplane à l’aile droite tailladée s’était fait recueillir par ce qui lui sert encore aujourd’hui de Phyllali de voyage. Phyro était un peu mon contraire : énergique, candide, pas très douée pour la vie sauvage… et anciennement Pokemon domestiqué. Dès les premiers jours, elle m’avait soumis un accord. Elle s’occupait de moi pendant la convalescence et m’indiquait le chemin vers un passage dans le mont (Couronné, comme elle l’appelait) en échange de la laisser m’accompagner. Enfin, je compris vite que c’était plus une question de ne pas rester seule qu’autre chose. Il n’y avait pas de raisons de refuser l’offre – il n’y avait plus de raisons, en tout cas.
- Partie 3 :
C’est donc ensemble que nous réussîmes à traverser le mont Couronné sans problème majeur ; je crois que j’ai évolué sur le chemin, mais sinon c’est tout. Mon aile déchirée était au moins remplacée par une voile intacte et un peu plus complexe. De l’autre côté se trouvait la cible de mon expédition : les ruines de Célestia. Je pus enfin accomplir mon rêve d’explorer ce lieu saturé de légendes et comprendre… qu’il ne servait à rien de rester à Sinnoh plus longtemps. La totalité des recherches sur sa mythologie avait déjà été faite par les humains bien avant ma naissance ; je n’avais plus rien à apporter, plus rien qui me retenait. Phyro avait décidé de rester avec moi. En plus, elle était la seule de nous deux à savoir comment quitter la région. Notre chemin changea donc d’objectif : Le moyen le plus simple de prendre la mer était d’atteindre une ville humaine nomée "Rivamar", située au sud-est. De là, il serait simple de trouver quelque chose de fiable. Le trajet fut plus long et plus fastidieux, le temps de m’accoutumer à ma nouvelle forme. Mes problèmes de sommeil ne nous avaient pas non plus aidés – ils semblaient s’être aggravés après ma chute. Malgré ça, nous avions rejoint la côte est en environ un mois. Il ne restait plus qu’à chercher ce qui nous permettrait de partir pour de bon.
- Conclusion:
A l’heure où j’écris, ça doit faire une vingtaine de jours que le ferry est arrivé sur Mae Mia Maïlys. La traversée clandestine s’est déroulée sans accroc grâce à mes talents d’infiltration – et à la grandeur du navire. Il nous a fallu un peu de temps pour nous repérer sur l’île et chercher un endroit où s’établir. J’ai fini par trouver une place dans les falaises de l’ouest, loin des habitations humaines. Quant à Phyro, elle s’est basée dans la forê à côté de tel sorte à être à proximité l’un de l’autre. Elle est en train de dormir juste devant moi, d’ailleurs. J’ai encore du mal à m’imaginer Sinnoh et tout ce qu’elle représente derrière moi. Je pensais encore une fois qu’atteindre mon but allait suffire, sans réfléchir à ce que je ferai après. Mais cette région reste nouvelle pour moi, et je projette de l’explorer pour ses mythes et ses légendes. Il va sûrement falloir aller chercher chez les humains pour ç...
Ah, Phyro vient de se réveiller. Elle me demande ce que je suis en train de faire en se rapprochant. Je crois que mon silence l’énerv
(La phrase se finit par une énorme rature au stylo bille) Caractère: Aux premiers abords, Glyde n’est pas quelqu’un de très extraverti. Même s’il n’hésite jamais à s’approcher d’un autre Pokemon, ce sera souvent à l’autre d’engager la conversation. C’est le genre de personnes qu’il faut un peu sortir de leur carapace pour espérer communiquer avec eux. Et pour le coup, ça peut en valoir la peine. Si vous ne vous faîtes pas intimider par sa voix rauque et ses deux mètres, vous aurez la chance de découvrir un Scorvol qui rit de tout et de rien et qui essaye toujours d’être le plus sympathique possible. Sa relation avec les humains est plus complexe. Il n’aura jamais peur à proprement parler s’il en est à proximité, mais il préférera rester à distance et attendre qu’ils clarifient leurs intentions. Malgré sa formation au combat, Glyde cherche toujours à régler les problèmes de façon pacifique – s’il a le temps d’y réfléchir. En période d’urgence, il privilégie plus le revers de la pince pour calmer instantanément la situation. Glyde est quelqu’un de très mobile malgré son handicap. Il a l’habitude de descendre sur la forêt ou sur les plaines quand il en a envie et fait parfois l’avion pour les petits Pokemon qui n’ont pas peur de se crasher dans un arbre. Physique: Glyde est un Scorvol des plus banals. Il a une légère cicatrice sur le côté droit de son patagium dorsal. Autres: Glyde est atteint de narcolepsie au sens pathologique du terme (en se basant sur la définition du DSM IV). Il est pris régulièrement de sensation de fatigue en pleine activité, notamment quand il s’ennuie. Son cycle de sommeil peut aussi être touché dans certaines circonstances. Glyde a de très bons réflexes d’équilibre, ce qui lui permet de voler avec des charges équivalentes à un humain même en dormant. Il a aussi la capacité de lire et d’écrire en Zarbi, mais il ne comprend pas l’écriture commune. Avatar trouvé en vingt minutes sur DeviantArt Si besoin, le nom de l'artiste est "ideallyRANDOM" Double compte de Paul Daruko, au cas où |
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Amelle Seele Parce Que C'est Notre Projet !
Messages : 464 Date d'inscription : 01/04/2016
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