Nom : Adweyrin
Surnom : /
Rang désiré : Ex Commandant Cancer - Commandant Nemesis
Age : 21 ans
Sexe : Masculin
Origine : Oliville/Johto
Groupe principal : Team Nemesis
Groupe secondaire : /
Equipe Pokémon :
Nekho : Mentali, Miroir Magik
Amasis : Steelix, Tête de Roc
Neferhet : Ectoplasma, Lévitation
Heruben : Corboss, Insomnia
Aneksi : Léviator, Intimidation
Khasekhem : Carchacrok, Voile Sable
Mon histoire racontée par mes soins :
Mon nom est Adweyrin, je suis né à Oliville dans la région de Johto il y a maintenant 20 ans. Ma famille était aisée et vivait à l'écart du centre ville, dans une grande propriété entourée d'un vaste jardin. Néanmoins, je n'ai pas eu l'enfance heureuse que cet environnement semblait laisser présager.
En effet, je n'ai jamais été capable de tisser le moindre lien d'amitié avec mes camarades de classe, sans doute à cause de mon fort caractère, mais c'était sans importance. J'aimais la solitude, la plupart de mon temps étant passé à rêver de tout et de rien, à me créer mon propre monde où les Pokémon étaient rois. Ils étaient ma passion, les seuls êtres à me faire rêver, de par leurs nombreux pouvoirs, leur lien avec la nature, et leur beauté. Rien à voir avec mes collègues, qui passaient leur temps à courir en hurlant des âneries. Déjà enfant, je n'avais donc pas d'intérêt pour mes semblables, sans pour autant les haïr ou les mépriser.
Cela ne m'empêchait pas cependant d'être le premier de ma classe, avec de très bonnes notes. Apprendre était quelque-chose qui me plaisait énormément, notamment l'Histoire, qui me permettait tout de même d'admirer certains grands hommes. Nonobstant, ces résultats scolaires ne suffisaient pas pour avoir la reconnaissance de mes parents, qui ne faisaient jamais attention à moi, trop obnubilés par leur travail. Je n'étais né que par effet de mode ou par accident, j'en étais persuadé. J'étais toujours gardé par une dame payée pour ça, et qui ne m'aimait pas, sans que je ne sache jamais la raison de cette aversion. Et au milieu de ma famille, personne n'avait la moindre attention à mon égard. A l'exception d'une seule et unique personne, mon grand-père maternel. Il était le seul à m'offrir des cadeaux aux fêtes de famille et à mon anniversaire. Il était néanmoins briefé à chaque fois par la famille : interdiction de m'offrir un Pokémon, quel qu'il soit, à mon grand dam.
Ainsi ai-je passé mon enfance, au milieu d'une famille d'inconnus à cotoyer les Pokémon sauvages dans le jardin quand le temps le permettait et à travailler pour que mes parents me reconnaisent, ce qui n'est jamais arrivé malgré mes efforts. Puis survint le drame. Je surpris une conversation de mes parents un soir, alors qu'ils parlaient d'avoir un autre enfant, qui ferait leur fierté, et qui prendrait la tête de leurs affaires après eux, maintenant qu'ils avaient atteint leurs objectifs et créé leur propre entreprise florissante. Je ne pouvais m'empêcher de me demander « et moi ? ». Je n'étais donc rien de plus qu'un brouillon, un prototype ? Ils n'avaient jamais eu le temps pour moi, et maintenant ils voulaient un autre enfant, cela n'avait aucun sens pour moi. Et cela n'en a toujours pas.
Je tentais alors de faire comme si je n'avais rien entendu, ou comme si ce n'était qu'un rêve et me persuadai qu'il ne s'agissait que d'une conversation comme ça, sans conclusion réelle. Je me trompai lourdement. Environ 9 mois après, Gabriel, mon frère, arrivait. Curieusement, ce fut pour moi une grande source de joie, peut-être allais-je enfin avoir une sorte d'ami, quelqu'un d'intéressant, comme il était du même sang que moi. J'avais alors 7 ans. Mais ça ne se passa pas vraiment comme je l'avais imaginé. En effet, Gabriel était choyé, gâté par mes parents et les autres membres de la famille (oncles, tantes et j'en passe). Je ne pouvais presque pas lui parler... C'est alors que pour ses six ans, peu avant son entrée en CP, il reçut un cadeau qui changea ma vie : un Héricendre. Moi qui avait toujours cherché des excuses à mes parents, à rechercher leur affection, et à tout faire pour obtenir un Pokémon, cela me fit l'effet d'un coup de poignard.
Je fus empli d'une colère noire, qui devint rapidement de la haine, à l'encontre de tous. Je songeai à fuir, partir de cette maison maudite, loin de toutes ces ordures. Un élément m'en empêchait : mon grand-père, le seul qui m'aimait, était mourrant. Il avait été renié par les autres à la suite d'une dispute assez violente me concernant. Aussi personne ne venait lui rendre visite à son hôpital, mis à part moi évidemment. Aussi passais-je des journées complètes à son chevet, sentant bien que la fin approchait. Puis, le jour de son décès, lorsque j'entrai dans la chambre, il n'était pas seul. Il avait en effet contacté un des ses amis pour obtenir un dernier service que la personne en question avait réalisé : obtenir un jeune Pokémon qu'il pourrait me confier avant de partir pour toujours. C'est ainsi qu'il avait dans ses bras un petit Evoli apeuré qu'il m'offrit. Je restai alors jusqu'à la fin, serrant le Pokémon dans mes bras, alors que le seul homme que j'aimais disparaissait à jamais. Et bien entendu, personne ne vint à l'enterrement. Empli de haine et noyé dans mes larmes, je quittai la maison le soir même, mon Evoli avec moi, ainsi que quelques vivres, vêtements et tout l'argent que j'avais pu trouver.
Ne sachant où aller, j'entrepris de voyager à travers Johto, et de me constituer une équipe qui me permettrait de devenir fort, sans jamais devoir dépendre de n'importe qui, homme, femme ou même enfant. Je jurai également de revenir dans la maison de mon enfance un jour, afin de tout détruire et d'en tuer tout les occupants.
C'est ainsi que je pris la direction de l'est d'Oliville puis du sud, jusqu'à atteindre Mauville sans avoir attrapé le moindre Pokémon. J'avais en effet quelques remords à l'idée de les arracher de leur foyer, ainsi que de faire souffrir mon Evoli, et surtout je manquai cruellement d'expérience. Je pris alors la décision de ne recruter que des Pokémon qui accepteraient de me rejoindre, quelle qu'en soit la raison, en évitant tout de même ceux que je jugeai trop inintéressant.
A Mauville, je pris la direction du sud vers Ecorcia. Et je tombai alors sur un combat opposant trois sbires de la Team Rocket à un énorme Onix blessé. Sans réfléchir, je lançai Evoli dans la bataille, et le monstre de roche comprit que je souhaitais l'aider. Ensemble, nous vainquirent les minables Rocket et le Pokémon sauvage accepta de ma rejoindre, en remerciement mais aussi de peur de finalement être capturé par d'autres sbires. Il voulait être fort, comme moi, et cela nous a rapproché.
Je retournai alors à Mauville pour faire soigner mon nouveau compagnon. Une fois ceci fait, nous allâmes nous entraîner à la tour Chétiflor, de nuit. Soudain une ombre apparut, et tenta de nous effrayer, ce qui échoua, tant ma curiosité de comprendre ce qui se passait était grande. C'était un Fantominus particulièrement vicieux qui adorait effrayer les passants, et dans sa colère d'avoir raté, il nous attaqua. Onix et Evoli le vainquirent sans difficulté et il se soumit, il rejoignit à son tour mon équipe lorsque je lui promis que ses talents d'épouvanteur seraient grandement améliorés à mes côtés et qu'ils me seraient grandement utiles. Le groupe s'agrandissait.
Après quelques entraînements avec cette formation, je vainquis Albert, Champion de Mauville avant de partir vers Ecorcia. En chemin, je rencontrai un Cornèbre blessé à mort par les membres de son groupe. Je le soignai et il s'ajouta à l'équipe, avide lui aussi de vengeance contre ceux qui avaient failli le tuer.
Je poursuivis alors mon voyage avec ces 4 Pokémon jusqu'à vaincre chacun des champions d'arène avant Frédo et Sandra, même Jasmine à Oliville (je pris soin de ne pas rester longtemps). Mes Pokémon avaient évolué tous au stade final, et Evoli était devenu un Mentali après la victoire sur Blanche à Doublonville. A Acajou, je partis vers le Lac Colère et découvris une Léviator seule à l'écart d'un grand groupe. Je réussi à la convaincre de faire partie de mon équipe, à condition de l'aider à défaire le chef de la bande de Léviator, qui l'avait exclu après un duel d' « accouplement ». Ce serpent géant a aujourd'hui plusieurs vertèbres brisées et vit dans un aquarium pour touristes, après avoir été vaincu par ma nouvelle camarade que j'avais entraînée.
Je récupérai ensuite les deux autres badges, notamment après un combat difficile contre Sandra. Son Hyporoi fut vaincu grâce au travail successif de Mentali puis de Ectoplasma. La Ligue ne m'intéressait pas, je ne me sentai pas encore assez fort.
C'est alors que j'entendis parler de la région de Maylis, qui avait l'air intéressante, avec une Ligue toute récente et des défis en quantité. Cela me rendrait assez fort pour assouvir ma vengeance sans crainte de représailles des forces de l'ordre. Et peut-être trouverai-je un autre objectif car je craignais de me retrouver démuni une fois ma vengeance accomplie.
Je quittai alors Ebenelle en direction d'Oliville pour prendre le bâteau vers cette région. Alors que je me trouvai près de Rosalia, je croisai une figure du dressage de Pokémon dans la région : Marion, membre du Conseil 4. L'occasion était trop belle, et je la défiai en lui montrant mes 8 badges. A mon grand étonnement, elle accepta.
Ce combat est encore à ce jour le plus mémorable que je n'ai jamais livré. Il dura plusieurs heures avant qu'il ne se termine sur une égalite, nos deux Ectoplasma s'effondrant de concert. Nous nous sommes alors promis de faire une revanche un jour, lorsque nous serions devenus plus forts, et elle est une des rares personnes à avoir gagné mon respect. Et j'avais un nouvel objectif : vaincre la Ligue de Johto quand je m'en penserai capable.
Je poursuivis alors ma route jusqu'à Oliville où je pris le bateau. Je découvris à notre arrivée l'île de Maylis et son imposant volcan. Cet endroit était vraiment prometteur. La ville où j'accostai était Port Lieucca et j'eu la surprise de voir deux types masqués se battre contre un dresseur avant d'être mis en fuite. Curieux, je me renseignai dans le Centre Pokémon. Il s'agissait de membres de la Team Zodiac, des criminels aux ordres d'un certain Ophiuchus qui semaient la zizanie depuis quelques temps. Leur objectif était apparemment de changer le monde, rien que ça ! C'était intéressant, peut-être cette organisation avait elle les mêmes avis que moi sur cette planète, un endroit pourri par les Hommes corrompus et répugnants. Je creusai donc le sujet et parvint à capturer un de leurs membres au détour d'une rue. J'appris alors qu'ils pensaient bel et bien comme moi. Comme je n'avais nulle-part où aller , ni d'objectifs précis en tête, je me dis que ce serait une bonne occasion de devenir plus fort en plus d'avoir une certaine expérience dans le milieu criminel, ce que j'allais nécessairement devenir un jour en génocidant toute une famille. Je pourrai aussi éventuellement me trouver un véritable but, que je cherchais toujours, et pourquoi pas des alliés voire des amis qui partageraient mon ressentiment envers l'humanité qui nous avait rejeté.
Je m'engageai donc, et fut au début déçu. Au milieu de mes collègues sbires, je me sentai seul. Ils étaient stupides et ineficaces. Néanmoins, plusieurs succès me firent grimper dans les échelons assez rapidement. J'obtins alors au bout de quelques semaines le grade convoité de Commandant. J'étais devenu un des Douze généraux de la Zodiac, le Commandant Cancer. Enfin quelqu'un reconnaissait ma valeur, et les autres Commandants étaient de puissants alliés. J'entendis alors parler de l'objectif final de l'organisation, l'Etoile de Sydarta. Je n'avais alors pas de vœu personnellement mais je me promis d'y réfléchir, ce serait idiot de rater une occasion pareille.
Je continuai alors mes missions, en affrontant même des dresseurs de haut rang, comme Green, la légende, ou des membres du Conseil 4 de Maylis, ainsi qu'une folle du nom de Solem. Je capturai même un Carcharcok chromatique dans le canyon de l'île.
Puis un matin je fus convoqué par Ophiuchus qui me proposa un combat amical ou tout les Pokémon devaient agir par eux même en 4 contre 4 sans qu'aucun ordre ne soit donné. A l'issue de ce combat que je remportai, je reçus la récompense suprême : Sulfura, l'oiseau de feu légendaire qui avait été capturé par l'organisation. Ce monstre fut donc intégré à mon équipe et je pris pas mal de temps pour le faire devenir fidèle à mon équipe et à l'Organisation.
Puis vint la bataille finale pour l'Etoile. Je fus affecté à Megapagopolis avec pour objectif de distraire un maximum la Ligue. Et je fis face à forte partie : Green, Lyndia ancienne membre du Conseil 4 de Maylis et un fouteur de merde barbu. Je fus alors défait malgré l'appui de Sulfura, que j'avais appelé Dounaouy. A mon réveil, je me dirigeai vers un hôpital peu regardant sur l'identité des patients avec mon équipe. Mais Dounaouy avait disparu... Je me jurai de le retrouver. Un flash à la télévision m'apprit la suite des événements, nombre de Commandants avaient retourné leur veste et signé notre défaite, l'Etoile était vide et tout le travail en prévision de cette guerre avait été vain. J'étais attéré. Comment avais-je pu me faire embarquer dans tout ce bordel, à me mettre au service d'un groupe ? Ophiuchus n'était finalement rien de moins qu'un minable. Je regrettai de m'être enrôlé dans la Zodiac, la seule chose de positif qu'elle m'avait apporté était Sulfura, que j'avais perdu. Je m'en voulais terriblement mais me promettai néanmoins une chose : traquer et éliminer les traitres. Je les tenais en effet pour responsable en partie de ma défaite, et ma haine pour la Ligue ne me permettait pas de comprendre ces ordures qui avaient retourné leur veste
A mon rétablissement, je décidai de quitter l'île et de partir visiter du pays. Je me rendis donc à Unys, Hoenn et Sinnoh, sans jamais prendre le temps d'affronter les Champions. Je ne faisais que m'entraîner et suivre tout les indices de présence de mon ancien oiseau de feu, que je ne parvins malheureusement pas à localiser.
Après environ un an de recherches infructueuses, je décidai de retourner sur Maylis. En effet, j'avais aimé cet endroit et j'étais curieux de voir l'évolution qu'avait subi la région. Une autre organisation avait-elle pris notre place ? Et surtout, j'avais des chances de retrouver des anciens membres à qui j'allais faire payer leur faiblesse ou leur trahison.
De retour à Port Lieucca, je fus très étonné d'apprendre l'éruption du volcan, qui avait profondément remodelé l'architecture de l'île, cela faisait de nouveaux lieux à explorer. C'est alors que j'entendis parler de la Team Nemesis. Intéressant, ce Eon Fawkes avait des idées originales que je partageais. Je n'allais cependant pas faire la même erreur qu'au temps de la Zodiac et m'engager à ses côtés, quoique... Je n'avais pas de travail, et cette fois je saurai être plus lucide, ne pas totalement m'engager dans les plans. Et ses plans étaient motivants, on avait les mêmes idées radicales, comme Ophiuchus mais Eon ne s'embarassait pas de discours politique, au contraire. Il l'avait clairement dit dans son discours et sa franchise me plaisait. Qu'avais-je à perdre ? Absolument rien, et je pourrai tranquillement mener à bien mes objectifs, tout en vérifiant si cette nouvelle Team valait mieux que l'ancienne. Et j'étais aussi intéressé par la possibilité d'avoir de nombreux renseignements par les espions de la Nemesis, que ce soit sur Sulfura ou des anciens Zodiac. Ainsi, ma décision fut prise de postuler à un poste de Commandant dans cette nouvelle organisation, pour amener la destruction sur ces misérables citoyens et cette Ligue que je détestais tant.
A la suite d'un entretien avec le chef Eon en personne, je me vis confier le grade de Commandant. La hiérarchie de cette Team me convenait, je n'avais pas besoin de gérer toute une meute de demeurés et était libre de mes agissements, exactement ce que j'avais escompté. Je pouvais donc commencer mes recherches.
Caractère :
Misanthrope au possible, Adweyrin voue une haine sans nom à l'écrasante majorité de l'espèce humaine. Son enfance ne lui a pas permis de découvrir le bon côté des Hommes mis à part une personne aujourd'hui défunte. Les seules personnes avec qui il se sent en confiance sont ses homologues commandants qu'il considère comme sa véritable famille. Il estime que la seule solution pour résoudre les maux de la planète est l'éradication de cette espèce pathétique à laquelle il appartient, à commencer par certains spécimens bien particuliers... En société, il se montre froid à l'égard de tout le monde et ne s'attarde jamais plus que nécessaire chez les divers commerçants chez qui il doit se rendre : il faut bien se nourrir, et il adore manger !
Les seuls êtres avec qui il se montre amical sont ses pokémons qui sont ses premiers et plus fidèles compagnons, surtout Mentali. Ce dernier a en effet passé sa première nuit avec son dresseur lorsque celui-ci vivait un moment extrêmement difficile et s'y est immédiatement attaché. Cela a tissé un lien très étroit entre ces deux êtres qui ne peuvent plus vivre l'un sans l'autre.
Aujourd'hui rongé par la haine de sa famille, il ne rêve plus que de sa destruction et cela risque de se révéler dangereux si il venait à croiser un de ses membres.
Après la défaite de la Zodiac, sa mentalité a évolué. Il est en effet devenu plus calculateur, et ne souhaite plus que son profit, malgré son engagement aux côtés de la nouvelle Team qu'il voit plus comme un outil que véritablement un combat. Il a en effet perdu toute confiance en la possibilité de changer le monde, et ne souhaite pas risquer sa vie, ni celle de ses compagnons, pour cet objectif. Il est persuadé que tout les hommes sont pourris, même ses nouveaux alliés et n'est pas dupe vis à vis de l'évidente soif de pouvoir de Eon Fawkes. Si le monde doit sombrer, tant que son groupe survit, c'est tout ce qu'il souhaite.
La Ligue a également beaucoup changé en un an, mais son opinion de celle-ci n'a pas beaucoup changée. Il la hait toujours autant mais elle a gagné un peu de son respect avec la gestion de l'éruption. En effet, elle a réussi à éviter une hécatombe considérable, tout en maintenant sa main mise sur la région, ce qui est un bel exploit. Adweyrin la considère donc encore aujourd'hui comme son ennemie, mais un ennemi digne d'être abattu.
Apparence physique :
Adweyrin est plutôt grand, il mesure 1,86m. Ses cheveux, qu'il porte longs jusqu'aux épaules, sont noirs et contrastent avec son visage infiniment pâle.
Ses yeux sont d'un vert profond. Myope, il porte des lentilles de temps en temps mais préfère des lunettes lorsqu'il reste au repos pour éviter de fatiguer davantage ses yeux. Lorsqu'il porte ses lunettes, il a d'ailleurs la fâcheuse habitude de les remonter au-dessus de son nez en permanence.
Depuis la bataille de Megapagopolis, il a une importante cicatrice sur le torse qui le relance lorqu'il fait un effort physique important.
Au niveau vestimentaire, il s'habille essentiellement en noir, malgré quelques T-shirts colorés et au nom de ses groupes de musique préférés. Il porte d'ailleurs très souvent des écouteurs sur les oreilles.
Autres :En ce qui concerne le rang désiré, sera-t-il possible de le modifier si je trouve un surnom de Commandant ?