[S4] Un énergumène doublement agaçante

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Rev Vanitas
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Rev Vanitas


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MessageSujet: [S4] Un énergumène doublement agaçante   [S4] Un énergumène doublement agaçante EmptyMer 8 Avr 2020 - 15:17
Nom / Prénom: Rev (Revenant) Vanitas
Surnom : Mist, surnom officiel pour son métier de mercenaire.
Rang désiré: Fondu du Duo
Age: 23 ans
Sexe: Masculin
Métier: Mercenaire
Origine: Kalos
Groupe: Dresseur

Histoire:

Avant PA :

Plic. Plic. Plic. J'entends ce bruit se répéter, encore et encore. Les gouttes d'eau s'écrasent par légions sur le toit de l'entrepôt. Dommage que je doive rester accroupi ici, j'aime bien marcher en sentant la pluie tomber sur ma peau. C'est bien sur le moment, après c'est moins agréable, je vous l'accorde, lorsqu'on est dans des fringues trempées dans son salon. On a dû tous vivre ce moment on a qu'une hâte, retiré notre jean mouillé, sautillant sur une jambe, pestant en tirant pour faire céder le tissu. Enfin, je m'égare. Je pourrai toujours profiter de la pluie une fois le boulot terminé. Je m'affale  contre le mur, mettant tout mon poids contre la bâtisse, mes jambes molles étalées de tout leur long. C'est pas une attitude pro, je vous l'accorde. Mais rien ne se passe dans cet entrepôt, il n'y a pas l'ombre d'un Miouass, je m'ennuie comme un Ratata crevé. Je ferme les yeux, me laissant bercer par les Plic inlassables de l'averse. Je ne pense plus à rien, je me concentre sur toutes les pensées qui passent, et à la fois sur rien du tout.

Je ne suis plus dans l'entrepôt.

Je suis de retour à Illumis. La ville est grande, les rues sinueuses. La ville essuie chaque année de nouvelles vagues de migrants qui viennent s'entasser et pourrir dans la vernir sans cesse renouveler, dans l'espoir d'une vie meilleure. Et moi, je viens d'une de ces vagues migratoires ? Peut être. Je n'ai aucun souvenir de mon enfance, ni même de mes parents. J'étais juste là, sur cette terre de poussière, dans cette vermine, dans ces rues sinueuses, dans cette grande ville. Les gens comme moi survivaient en communauté, dans des rues grises et mortes. J'ai vécu à l'orphelinat, mais j'ai grandi dans la rue, avec un groupe de jeunes plus âgés. Je n'étais qu'un jeune parmi tant d'autres dans les rues de la ville. Un parmi tant d'autres. Alors, les adultes n'avaient simplement pas le temps de s'occuper de moi, il y avait tant d'autres enfants dont il fallait s'occuper. J'étais assez libre. Je pouvais aller où je voulais. Tant et si bien que je pouvais me balader dans les rues de la ville, sans rendre de compte à personne. C'est là que je les ai trouvés.

Dans une impasse d'un rue aussi grise et banales que des centaines d'autres, ils apportaient de la couleur avec leurs uniformes et leurs lunettes orangées. J'avais tout de suite était séduit par la teinte de leurs costumes. Ils étaient trop occupés par leur discussion pour se rendre compte que je m'étais rapproché. Je ne comprenais pas grand chose à ce qu'ils racontaient, uniquement qu'ils avaient entreposé quelque chose dans une petite loge de concierge. Un seul resterait en faction. Alors que le groupe se dispersait, j'étais toujours dissimulé derrière un muret, sur la pointe des pieds, mes jambes tendus pour permettre à mon petit corps de garder la bonne hauteur et me permettre de voir. J'étais excité parce que je venais d'entendre. J'entrais à peine dans l'adolescence. Pour moi, ce qui se trouvait derrière la porte, maintenant gardée par un des hommes en orange, semblait être la promesse d'un trésor.

J'attendis que la nuit tombe. Ces hommes n'étaient clairement pas du coin. S'ils l'avaient été, ils auraient su que les bâtiments de ce type comportaient une petite trappe d'aération reliée directement à l'extérieur. Et ils auraient posté un garde supplémentaire. Une pile de vieux cagots et d'autres ordures me fit une échelle. Je passais par la trappe. Bien entendu, je n'avais pas prévu mon atterrissage. C'est donc dans un grand fracas que je m'écrasais sur une table branlante, que la collision réduisit en morceaux. La porte s'ouvrit à la volée. Ce ne fut cependant pas l'homme en orange qui déboula dans la pièce. C'était un homme brun, une barbe naissante, un homme tout ce qu'il y avait de banal. Il me regardait avec un mélange de colère et de stupeur.

« Bordel, t'es qui, toi ? Comment t'es arrivé là ? » Je ne répondis pas tout de suite. Il y eut alors un fracas dans la rue. Après s'être retourné vivement pour regarder derrière lui, il jura en reportant son attention sur moi. Sans perdre une seconde, il bondit au centre de la pièce. Il souleva une vieille bâche qui recouvrait une caisse. Il plongea ses deux mains dedans et en ressorti une mallette. Le trésor que j'étais venu chercher ! «Reste pas ici, ils vont revenir plus nombreux ! » Il jetait toujours des coups d'oeil inquiets à la porte. Voyant que je ne bougeais pas, il m'attrapa par le bras et se précipita dehors, moi, la manche empoignée par sa main, j'essayais de courir à son rythme. Après avoir franchi le pas de la porte, je vis le garde gisant sur le sol, assommé. L'inconnu tourna à gauche. Puis à droit. Puis à gauche. Puis tout droit. Je n'avais jamais ressenti ça. J'étais essoufflé. J'avais le cœur qui battait à la chamade. Mes joues devenaient de plus en plus chaudes à mesure que l'effort se prolongeait. J'avais un grand sourire sur les lèvres.

« Monsieur ! » Je lançais entre deux respirations. « Monsieur, est-ce que t'es un agent secret ? »

Nouveau décor, plus proche du centre-ville, dans une impasse. Nous reprenions notre souffle. Les rues étaient plus fréquentées, les passants nous jetaient de drôle de regards en nous apercevant.

« Monsieur, t'es agent secret ? » Je lui répétais naïvement.

Il reprit son souffle et me fixa. « Rentre chez toi, petit. Il est déjà tard, tes parents vont s'inquiéter. »

Je le regardais sans comprendre. Il soutint mon regard.

« Monsieur, je n'ai pas de parents, tu sais. »

Il s'arrêta brusquement. Sous le coup de l'émotion d'une telle nouvelle, il me confiera des années plus tard.

Il s'appelait Gérard. Il appartenait aux Forces de Police Internationale. Il passa une longue heure à me sermonner sur mon action. Je ne savais pas comment réagir. Aucun adulte n'avait jamais pris du temps pour me reprocher quoique ce soit. Il me raccompagna à l'orphelinat, pour être sûr qu'il ne m'arriverait rien. Puis, après s'être assuré que j'étais bien arrivé devant la grille de l'orphelinat, nos chemins se séparèrent dans la nuit. Il revint le lendemain. Il voulait prendre de mes nouvelles. Il revint aussi le jour suivant. Et le jour d'après. Et le jour d'après. Et plein de jours d'après. Ensuite, il m'a adopté.

La rue de l'orphelinat disparaît. Je suis à Flusselles, confortablement installé dans un canapé, dans une modeste maison. L'endroit ne paie peut être pas mine, mais je m'y sens vraiment chez moi depuis que Gérard m'a adopté. Je lis un livre sur la région d'Unys, « L'idéal et la Réalité », qui parle des Dragons jumeaux qui ont participé à la fondation de la région. Quand je lisais ce livre, il pouvait y avoir un incendie autour de moi que je n'aurais même pas tiqué. J'étais beaucoup trop absorbé. Quelque chose me fascinait, je peux même dire, me fascine toujours, et ce depuis mon adolescence, dans le concept de la dualité. Je ne saurais dire d'où ça vient, c'est venu, comme ça. On a tous notre petite philosophie personnelle qu'on garde au fond de nous, et qu'on n'exposera jamais devant les copains, de peur de passer pour une tâche. Moi, c'est la dualité. Deux éléments contraires, ou deux complémentaires qui se complètent. Comment Gérard se rendit compte que j'avais une telle passion ? C'était tout aussi mystérieux que la naissance de la dite passion.

Un soir, il me tira hors du salon, après les cours et son travail. Une surprise, qu'il disait. Une surprise qui nous conduisit jusqu'aux gradins de l'Arène de la ville.

« Les enfants de ton âge aiment les Pokémon. Mais je pense que ce combat peut vraiment t'intéresser. » Il eut un sourire du coin des lèvres en tendant son index vers le coin de la championne. Ce que je vis me fit forte impression. Le combat était un combat Duo. Et la Championne utilisait deux chats bipèdes. Leurs formes, leurs couleurs, tout chez l'un complétait l'autre.
« Ce sont des Mistigrix. Si certains trouvent qu'ils ne paient pas mine, je peux t'assurer qu'ils sont redoutables en combat Duo. »

Le combat avait duré une demi-heure. C'était en tout cas ce qu'avait indiqué l'horloge parlante. Moi, je n'avais pas prêté attention au temps. J'étais beaucoup trop obnubilé par le combat. Le dresseur s'était fait écraser. Les Mistigrix de l'arène avaient fait preuve d'une synergie sans faille. Alors mon père adoptif me pressait pour que nous rentrions, je ne pouvais enlever l'image des deux félins dans ma tête.
« Le bleu est la forme des mâles de l'espèce. Il est plus orienté vers la défense et le soutien. Le blanc est la forme des femelles, beaucoup plus agressives et portées vers l'attaque. Tu comprends pourquoi ils sont si forts en combat Duo ? »

Je hochais vivement la tête. Je ne savais même pas quel métier je voudrais faire plus tard. Mais j'avais une certitude. J'aurai des Mistigrix.

Mon entrée au lycée. J'avais passé presque tout mon collège à Illumis à l'exception de la dernière année que j'avais faite à Flusselles, après notre déménagement. Autant dire que je n'avais pas vraiment eu le temps de rencontrer vraiment des gens. J'appréhendais la rentée imminente dans le niveau supérieur. Gérard semblait percevoir ma nervosité, sûrement que tourner en rond en poussant des grognements comme un Ursaring en cage n'avait pas aidé.

« Tiens, c'est pour toi. » Il me tendit un petit étui de forme cylindrique. Je le remerciais en récupérant l'objet. Je tentais de le soupeser. Vraiment très léger. Sans plus de cérémonie, je l'ouvris. Il contenait deux Pokéballs. A travers le vers coloré de rouge je pus apercevoir deux Psystigris. Un mâle et une femelle.

Les années ont passé tellement vite... Ma vie était rythmée par pas mal de choses. Les cours, d'abord. Même si je ne me voyais pas continuer les études, Gérarld voulait que j'ai mon diplôme de fin d'année. On n'est jamais trop prudent, disait-il. Les combats, ensuite. Mon père adoptif m'avait inscrit aux cours de l'Arène de Flusselles. Les heures passées dans le bâtiment de la Ligue me permirent de me rapprocher de Mu-Len et de Sun-Day. Bases du combat, tactique de Duo, télépathie. Enfin, les entraînements physiques et les cours de self-défense. Gérard commençait peu à peu à m'initier à son univers de policier à l'internationale. Je pense que, même s'il ne me l'a jamais dit, il espérait que je m'engage à sa suite dans la police.

Gérard... Je lui dois tout et pourtant, je n'ai pas fini comme il l'aurait probablement voulu. Après le lycée, il était de plus en plus insistant pour que je rentre dans la police. Je coupais court à la discussion dès qu'elle revenait sur le tapis. Je ne me voyais clairement pas obéir à des ordres à longueur de journée. J'ai un grand besoin de liberté. Oui, c'est simplement ça qui explique qu'un fils adoptif de flic soit devenu une petite frappe qui vend ses services au plus offrant. Désolé si je ça vous déçoit.

Je suis parti de la maison. J'étais déjà majeur à l'époque, donc ce n'était pas une fugue. J'ai traversé Kalos d'est en ouest, pour arriver à Cromlac'h. Une fois seul hé bien, il a fallu vivre. Je n'avais que les entraînements de Gérard, le combat, l'infiltration, ce genre de trucs. Puisque c'étaient les seuls dons que je possédais, je les mis sur le marché. C'est comme ça que ma carrière de mercenaire commença, tout bêtement. Enfin, il a quand même fallu se faire un nom dans le milieu, vous savez, pour se faire repérer par les clients qui veulent que vous fassiez des trucs pas très légaux pour eux. Mais ça, c'est une autre histoire. J'étais pas le meilleur dans mon domaine, mais j'étais pas le pire. Un mercenaire, voilà ce que je suis.

J'ouvre les yeux. Je me gratte la tête. Combien de temps ai-je dormi ? Je me relève, doucement, agitant mes jambes pour les dégourdir. Un bruit se fait alors entendre, comme des petits pas. Je tourne la tête, avant d'apercevoir Sun-Day marcher nonchalamment sur ses quatre pattes.

« Quelle heure est-il ? » Je demande à ma Mistigrix.

« L'heure d'y aller. Le bateau est là. » Répond sa voix dans mon esprit.

Je récupère mes affaires. Je n'entends plus la pluie. Dommage. J'imagine que c'est un soulagement pour mes deux félins. Nous sortons de l'entrepôt avec Sun-Day pour déboucher sur les docks d'un port. Le même bruit de petits pas se fait entendre. Mu-Len, mon Mistigri mâle, arrive vers nous en courant.

« C'est pas trop tôt ! » S'exclame-t-il en s'arrêtant devant nous. « Le bateau est là, il va pas tarder à lever l'ancre ! Allez, allez, allez ! » Toujours aussi stressé, le Mu-Len. Mais il était temps de partir. Ils ne devaient pas rater ce bateau.

« Ça va aller ? » L'interrogea la voix mentale de Sun-Day. « Pour Gérard, je veux dire.

-Gérard va remonter notre piste jusqu'ici. Mais quand il arrivera, ce sera trop tard. On aura mis le cap vers une nouvelle région.

-Je voulais dire... Tenta la Mistigrix.

-Oui, je sais. Je lui ai écris une lettre pour un peu... tout lui expliquer. Les raisons de mon « départ », je veux dire. Il la trouvera, ou l'un de ses collègues. »

Un court silence.

« Quoique tu décides, on te suivra, Rev. » Affirma la voix mentale de Mu-Len.

Dans un coin de son esprit, je sens que Sun-Day émet une sorte d’acquiescement. Je souris. Je n'aurai jamais pu rêver meilleurs compagnons.

« Hé bien, en route. Ce bateau ne va pas se faire illégalement aborder tout seul. Direction... »

Je déplie une carte.

« La région de Maïlys. »

PA Saison 3 :

Rev n'a pas fait trop de vague, et il ne s'est pas vraiment fait remarquer à son arrivée sur Maïlys. Il a surtout passer son temps à récolter des informations sur les gens, les lieux et les personnalités. Dites vous bien qu'à son arrivée, il n'avait pas peur de Nyssa Germanni, et pour cause, il n'avait aucune idée de qui elle pouvait bien être !

L'affaire la plus remarquable qui lui aura été confiée a été la surveillance de Celestio, un jeune dresseur. Le commanditaire a caché son identité, ainsi Rev n'a jamais su qui il était, et n'a plus jamais eu de ses nouvelles après l'échec de sa mission. Échec en effet puisqu'il est rentré en contact avec la cible, bien malgré lui.

Passons maintenant à la, THE, rencontre qui va être déterminante pour Rev au cours de cette saison 3. On ne la présente plus, on connait tous ses combats et ses parcours, je vous le donne dans le mille : Amélia de St.-Gil. Ce jour là, Rev se demandait comment il pouvait étendre son activité. C'est bien beau d'aller chercher les dettes des autres, de protéger d'autres gens, d'en tabasser d'autres, mais ça offre un nombres assez limité de CDD. Pourquoi ne pas se renseigner sur le milieu de l'enquête ? Il invita alors une affaire bidon et infiltra le cabinet d'enquête d'Amélia, réputée dans le milieu. Et l'expérience qu'il vécu le changea à jamais. Le caractère imprévisible de la jeune femme mêlé à une pointe de prestidigitation. Le jeune homme fut tout de suite sous le charme, platoniquement, et il décida qu'il devait être l'associé d'une femme avec un tel tempérament.

Saison 4

Revoilà Rev, toujours fondu des combats en duo, toujours mercenaire. Toutefois, sa rencontre avec Amélia l'un un peu changer dans un domaine. Il s'intéresse maintenant à ce qui touche à la pensée, à l'esprit, la conscience. Sans dire qu'il est manipulateur, il touche à présent à la prestidigitation, l'illusionnisme et quelques bases de mentalisme. Il ne va pas vous dire à quoi vous penser avec certitude, mais maintenant il peut retrouver la carte que vous avez piocher ou faire apparaître un bouquet de fleurs de sa manche. Il a aussi passé l'année à entrainer ses Pokémon au combat, car on ne peut gagner de la puissance qu'en versant de la sueur.

Caractère: Réservé, Rev Vanitas va d'abord garder ce qu'il pense pour lui. Il prend un temps pour digérer les informations, mais ne vous méprenez pas, il a un franc parler et il ne dissimulera pas le fond de sa pensée, même si cela vous est désagréable. Peut être à cause de son métier de mercenaire, ou peut être que c'est cela qui l'a poussé à être mercenaire, mais il restera toujours neutre dans un conflit. Il exposera, si on le lui demande, en quoi, selon lui, chacun a raison ou tort (et le tort peut très bien se trouver des deux côtés). S'il aime la dualité, l'idée de la séparation du bien et du mal, et la glorification du premier au détriment de l'autre lui est insupportable. Qui a réussi démocratisé un tel manichéisme ? L'importance, c'est de survivre ! Dans la rue, on a pas le temps de se poser des questions pour vivre. Et le héros de l'histoire ne fait pas toujours le bien, et de bonnes idées peuvent venir des méchants, bon sang ! Les amis aussi sont importants, il faut les garder au plus près de soi, c'est pour ça que Rev n'oubliera jamais un anniversaire. Et comme les amis sont importants, Rev n'hésitera pas à leur dire leurs quatre vérités en face. D'humeur parfois taquine, il prendra cependant toujours gare à ne pas franchir la ligne.

Depuis la rencontre avec Amélia : Rev reste un garant de neutralité, et s'il avait pu être dans le groupe des Neutres, ça aurait été bien. Mais depuis sa rencontre avec Amélia, cette absence de prise de partie dans le conflit entre la Ligue et ses opposants va lui permettre de s'amuser. La célèbre détective lui a montré la voie, à quoi bon se prendre la tête à servir une cause juste et idéale ? Déjà ça n'existe pas. Et puis, le rôle du chevalier servant, ou du grand méchant qui envoie des monstres tout raser sur leur passage, c'est ennuyeux tout ça. C'est bien plus cool d'être le mec cool et détaché qui vient quand ça lui chante, pour aider le héros ou lui mettre des bâtons dans les roues, et pouvoir côtoyer les méchants tout en repassant avec classe.



Apparence physique : Des yeux en amandes tirant vers le doré, et des cheveux blondes en pointes avec des racines noires. Avant, Rev pensait qu'il devait passer inaperçu pour son travail, il évitait donc les tenues extravagantes lorsqu'il est sur le terrain. Quand il est en civil, il ne se refuse pas quelques petites excentricités, comme des bracelets en pointe. Sur le terrain, c'est plutôt couleurs mortes, ternes, vert kaki, marron ou noir, même du gris. Monsieur tout le monde. Il n'a pas vraiment de tics, ou de manies. Mais comme il préfère réfléchir avant d'agir, il a souvent une expression pensive sur le visage. Soit l'index recroquevillé contre sa bouche, soit le menton coincé entre l'index et le pouce. Si vous voulez le faire sourire d'une oreille jusqu'à l'autre, proposez lui un combat Duo, il vous fera alors une ristourne sur ses prix si vous le battez ! Rev n'avait pas de démarche particulière. Sa façon de marcher, de s'habiller à changer avec sa rencontrer avec Amélia de St-Gil. Il affiche et revendique à présent son extravagance, tout en restant prudent. On peut se promener avec une veste et un petit chapeau, si vous ne faites pas de remous en public, on se souviendra de vous avoir vu passer, oui, mais on n'aura aucune idée de ce que vous avez bien pu faire.

Aussi, le bandeau de pirate n'est que décoratif.

Il n'a pas de muscles à proprement parler, toutefois, les entraînements promulgués par son père adoptif lui permettent de fournir des efforts physiques assez importants, il peut donc mener à bien ses missions. Il peut se battre au corps à corps, courir assez longtemps, escalader des obstacles, bref, il n'est pas devenu mercenaire pour rien.

Il a également divers gadgets ou appareils qui peuvent le sortir de la panade dans diverses situations. Son seul objet véritablement notable est un Vokit noir, dont la ligne est sécurisée pour que ses clients passent commande.

Pokémons Possédés:

Mu-Len, Mistigrix, mâle, niveau 35, @Farceur
Sun-Day, Mistigrix, femelle, niveau 35 @Battant

On m'a dit que je pouvais les garder, alors je les garde. Kappa

Autre: Double compte de Oliver Raporow.

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Glyde
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MessageSujet: Re: [S4] Un énergumène doublement agaçante   [S4] Un énergumène doublement agaçante EmptyMer 8 Avr 2020 - 17:15
Et hop, validé'd !
Bon re-retour sur le forum, et n'oublie de mettre à jour ton carnet par rapport au retrait du Mélancolux de ta team.

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Glyde écrit en "#990099" et pense en italique

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