Charlotte/Charlie Hufsie - Non pas au fraise et non pas la chocolaterie, urgh

Nom : Hufsie
Prénom : Charlotte, se présente plus souvent sous le nom Charlie, dû à un trop grand nombre de vanne à base de charlotte aux fraises.
Surnom : Char, Charlie, Lottie (pour les intimes)
Rang désiré : Service impeccable
Age : 27
Sexe : Ca dépend des jours. Littéralement. Les légendes disent que Char est genderfluid mais chut (la fiche a été écrite entièrement au féminin par soucis de simplicité mais ça peut changer d'un RP à l'autre)
Métier : Travail au café de combat d’Inoke (Principalement du service mais pas que, très multitâche en somme)
Origine : Galar
Groupe : Neutre




Charlotte grandit dans la ville à la fois glacée et chaleureuse de Ludester à Galar. Ses parents tenaient une pâtisserie, plutôt populaire, offrant des gourmandises pour réchauffer les coeurs. D’une manière ou d’une autre, elle et toute sa fratrie pour un bon total de six enfants, avaient fini par donner un coup de main au commerce familiale. Leur parents ne mettaient aucune pression sur une quelconque reprise du flambeau, ni sur les aînés, ni sur Charlie, ni sur les plus jeunes.

Ses parents étaient de vrais artistes, alors bien avant d’être en âge d’aider à la pâtisserie, à peu près tous leurs gamins les avaient tanner pour apprendre à faire tel ou tel gâteau, tel dressage, telle forme, et Charlotte n’avait pas fait exception. Quoi de plus fascinant pour un enfant que d’apprendre la magie d’un met sucré en forme de son Pokemon préféré ?

La pâtisserie, ça a été un peu sa première grande passion, surtout à partir du moment où ses frère et soeurs s’en sont lassés. Elle les adorait, elle aimait profondément sa famille, mais le chahut quasi continu lui était bien vite intolérable, alors appliquer les petites leçons de ses parents, au calme, seule, concentrée sur sa tâche, à faire mieux et toujours mieux, c’était les meilleurs moments.

Les années passaient, un de ses passe-temps favoris demeurait la pâtisserie, rejoint doucement par un intérêt pour la musique. C’était à force de faire ses expérimentations en utilisant un peu trop les matières premières de ses parents, incapable de faire une seule chose à la fois, elle écoutait d’abord la radio en travaillant une monture de dessert, puis elle se mettait à laisser une application de musique suggérer tout et n’importe quoi.

Quand elle ne faisait ni pâtisserie, ni devoirs, ni penser à son avenir parce qu’on lui disait d’y penser, elle s’isolait casque sur les oreilles, elle regardait les inspirations des artistes qu’elle écoutait, puis l’inspiration de leurs inspirations, elle lisait des articles de théories de la musique, elle écoutait des analyses de morceaux, bref, elle s’était totalement perdue dans le domaine. Elle en arriva au point de demander à prendre des cours de n’importe quel instrument, juste pour voir. Le hasard lui fit apprendre le piano.

Charlie ne pensait absolument pas à l’avenir, parce que l’avenir, eh bien c’était lointain. Se projeter était difficile, elle avait juste accepté purement et simplement qu’elle travaillerait avec ses parents. Arrivée au passage presque obligé d’aider au commerce familiale, la réalité lui mit une petite gifle. Elle s’attendait à passer la journée aux fourneaux, en tête à tête avec des ingrédients, mais le fait est que la boutique était tenue par ses deux parents, elle, et tout au plus un ou deux autres de ses frères et soeurs sur leur temps libre. Les rôles alternaient, et elle se retrouvait face au public bien plus que prévu, et bien plus qu’elle ne pouvait le supporter.

La perspective de travailler avec ses parents des années durant, pensant simplement se concentrer sur quelque chose qu’elle adorait, s’était transformée purement et simplement en vision d’enfer. Le pire était le sentiment d’être totalement perdue. Elle continua néanmoins son travail à la pâtisserie, un peu par dépit, mais aussi pour économiser. Un vague plan se formait dans son esprit au fil des mois, et elle aurait besoin d'argent. En attendant, elle apprenait à gérer un peu plus la partie extra sociale de l'établissement, faisant doucement le deuil d'une ancienne passion qui se changeait doucement en source d'anxiété.

Le plan était simple : voyager quelque temps. L'idée l'effrayait un peu, c'était l'incertitude de tout ce que cela impliquait, principalement, mais les bénéfices étaient attrayants. Elle voulait voir le monde et ses possibilités. Rester à Ludester lui brouillait totalement l'esprit, elle ne savait pas quoi faire, elle ne savait pas quelles études faire, elle ne savait pas quel métier faire et surtout ce qui pouvait lui convenir. Si elle s'était complètement fourvoyé sur le commerce de ses parents elle ferait peut être la même erreur ailleurs.

Souffler un coup, aller voir ailleurs, à moitié des vacances à moitié un travail sur soi, ça paraissait être une bonne idée, et c'était quelque chose de plus que commun. Ses parents l'encouragèrent, ses frères et sœurs encore présents dans le cocon familial étaient chagrinés, mais ils avaient l'habitude, des aînés étaient déjà partis vivre ailleurs dans la région construire leur vie.

Charlotte ne partit pas seule, sa mère insista pour qu'elle prenne avec elle son vieux Wimessir, si elle comptait quitter la Galar. Le Pokemon l'avait quasi vu naître et avait une certaine expérience des voyages, et même un peu d'expérience en combat. Ah et son Frissonille qui s'était incrusté dans sa vie un beau jour venait aussi, évidemment.

Elle commença par explorer sa propre région, elle n'était jamais vraiment sortie de sa ville natale. Elle joua les vrais touristes, pas trop quand même non plus, elle reconnaissait les attrape-couillons, mais elle se prêta au jeu. Quelques photos de fresques par ci, quelques souvenirs de statues par là, ses cours d'histoires au début de son adolescence aurait été bien plus intéressant avec des voyages scolaires.

Elle partit ensuite en direction de Kalos, la région la plus proche de chez elle, encore un peu réticente à trop s’éloigner. Elle y passa quelques semaines, d’abord en pure touriste, puis en s’intéressant davantage à sa culture et son histoire riche. Elle visita plus d’une fois le musée d’Illumis, source de nombreuses connaissances sur la région, mais aussi une fenêtre ouverte sur les autres. Sa prochaine destination se décida sur la plus belle illustration selon elle, d’une des ailes consacrée au reste du monde.

Direction Johto pour la jeune vagabonde. Ce fut un dépaysement total des plus rafraîchissant. Tout un tas de petites villes, pas de grandes métropoles, ou presque, et les légendes ? Les légendes étaient absolument fascinantes. La frontière constante entre Histoire et mythes dans le monde entier lui avait toujours paru si étrange. Les légendes étaient vraies, mais pas vraiment. Des fragments véridiques, d’autres extrapolés, mélangés, confus, et même, peut être, manipulés. Découvrir l’histoire d’ailleurs, combinés à ses souvenirs de la deuxième Nuit Noir à Galar, fit naître un nouvelle intérêt.

Charlie resta à Johto plusieurs mois, elle s’y sentait bien, elle apprit beaucoup sur la région, et elle appréciait même ses habitants, enfin, à sa façon. Toujours aucune idée de quoi faire de sa vie, par contre, elle savait qu’elle continuerait de voyager. Elle aurait pû s’installer ici, mais la soif de connaissance de sa nouvelle passion et sa curiosité naturelle la poussa à partir. Sinnoh était sa prochaine destination, principalement pour ses légendes évidemment. Elle prévoyait de voir les deux autres régions alentour avant d’entendre parler d’une île qui se développait bien au large d’Unys, ça, et le fait que ses économies étaient presque épuisées.

Après un passage assez bref à Unys, Charlotte arriva enfin à Maïlys, intriguée par le manque de documentation de son histoire comparé à ailleurs. Entre deux grabuges importants qui deviendrait la norme dans la région, elle se demandait si rentrer chez elle reprendre des études pour revenir ensuite ici officiellement historienne, ou quelque chose du genre, serait une bonne idée. Mais plutôt que d’agir concrètement sur la possibilité, elle avait procrastinée, sans doute par peur de reproduire la même erreur de se jeter corps et âme dans quelque chose pour en venir à en être dégoûtée une fois le but atteint.

Et elle se retrouva à sec.

Trop fière pour demander de l’aide à ses parents, elle chercha un petit boulot, n’importe quoi, de quoi se faire assez d’argent sur quelque temps pour repartir. Elle était à Bordeciel quand elle constata sa ruine économique, et elle ne mit pas longtemps à voir un établissement qui recrutait. Elle maudit Arceus lui-même de l’ironie de la situation avant de tourner les talons en envoyant l’univers se faire foutre. Elle ne trouva rien d’autre les jours qui suivirent, et l’urgence commençait à lui peser, plus pour ses nouveaux compagnons que pour elle-même. Pourtant elle n’arrivait pas à s’y résoudre, c’était un non catégorique, l’annonce la narguait à chaque fois qu’elle passait dans la rue, elle en est même venu à se disputer avec Missy juste devant le fameux endroit. Le Wimessir était surtout inquiet, mais en sa qualité de vieux croûton, il était aussi irrité du comportement de sa sale gosse d’humaine.

Honnêtement, si leur engueulade étaient des plus sérieuse au départ, elle se fit de plus en plus ridicule et absurde, les deux couverts de neige, le Pokemon empêchant sa dresseuse de s’éloigner du bâtiment, et Charlie qui faisait tout pour partir en se bagarrant en vain avec le vieux Wimessir. Et comme de parfait exprès, elle s’était levée tôt pour ses recherches d’emploi, et comme par fait exprès, le café était fermé à leur arrivée, et comme parfait exprès, le plus parfait du parfait, sa propriétaire n’avait pas trouvé meilleur timing pour arriver.

Elle ignorait encore comment elle eut le job malgré le spectacle catastrophique, mais elle l’avait eu. Pire encore, elle y restait travailler. Des années. D’abord elle esquivait la cuisine comme la peste, laissant tout l’aspect pâtissier aux Pokemons de sa patronne. Elle comprit aussi vite que les clients venaient davantage pour s’affronter en match Pokemon entre eux ou contre sa cheffe que pour rester des heures à siroter un thé ou un café avec des jolis gâteaux. Enfin davantage, plutôt moitié-moitié. Elle dut s’habituer au sol et mur qui tremblent et aux occasionnels bruits d’explosion et autres sons trop spécifiques de combats.

Étrangement, l'appréhension initiale s’estompait au fil du temps. L’afflux de clients dans un café lui semblait si différent que dans sa petite pâtisserie familiale, l’atmosphère était plus détendue, ses collègues étaient tous des Pokemons. Sans vraiment s’en rendre compte, une routine pas si désagréable s’installait. Elle arrivait à mieux gérer les clients sans se retrouver constamment au bout du rouleau en fin de journée. Elle commençait à filer un coup de main à une certaine Charmilly qui confectionnait tous les mets sucrés, de temps en temps. Et c’était sans même compter le fait qu’elle s’entendait très bien avec sa patronne. Elle appréciait certaines de ses journées. Puis la majorité de ses journées. Un an, deux ans, trois ans, encore et encore, et finalement, contre toute attente, elle s’était installée ici, pour de bon.

Elle s’était doucement réconciliée avec la pâtisserie, elle avait appris à faire de jolies choses pour décorer les chocolats, les thés et cafés au lait, pour accompagner les jus. Elle avait même appris à dessiner sur la mousse en plein Séisme provenant de l’arène de combat, sans trop tout renverser. Sa famille l’appelait régulièrement, surtout quand des événements un peu trop catastrophiques arrivaient. Elle s’était trouvé un clavier pour jouer un peu de musique chez elle. Et elle n’avait pas cessé de creuser les légendes, et Arceus bénisse Inoke pour l’immense quantité de bouquins qu’elle possédait sur le sujet.

Bordeciel était finalement devenu son foyer, et malgré ses craintes vis à vis du nouveau statut de sa patronne et de l’attention que le café et son arène allait attirer sur son lieu de travail, elle ne comptait pas quitter tout ça de si tôt.




Charlie est avant tout introvertie, et généralement très asociale. Ironique avec un travail pareil, mais disons qu’une activité familière rend la chose plus tolérable. Elle aura tendance à se plaindre de ne pas aimer les gens, ce qui est un peu vrai et un peu faux à la fois. Interagir avec tout le monde et n’importe qui a tendance à très vite cramer ses batteries sociales, et batterie tout court finalement, donc l’irritation arrive très vite, souvent suivi évidemment d’un énième “j’aime pas les gens”. À quelques exceptions près, elle préfère rester dans son coin ou chez elle, à faire des activités seule, ou avec les squat- ses Pokemon. Se perdre pendant des heures sans voir ni le soleil ni âme qui vivent en lisant des thèses sur la Mythologie d’une région, ou bien laisser son esprit décomposer aussi bien une vieille musique d’il y a deux siècles comme le dernier morceau d’un groupe indépendant tout en regrettant de ne pas avoir de piano chez elle. Quelqu’un de plutôt solitaire et qui apprécie cette solitude, en somme.

Asociale et solitaire, mais sans pour autant négliger ses relations. Elle ira rarement forcer une rencontre ou une interaction, à moins de se sentir d’humeur à flirter, mais si une personne arrive à piquer son intérêt et qu’un quelconque lien se forge, Charlotte est quelqu’un sur qui vous pouvez compter. Si elle a tendance à avoir un air blasé naturel, les choses sont un peu différentes à partir du moment où vous êtes assez proche d’elle. Elle sera plus à l’aise et plus détendue, sourit plus facilement, rit plus facilement, un peu plus bizarre, un peu plus excentrique. Et si passer du temps avec des inconnus l’épuise très vite, passer du temps avec ses proches est presque revigorant. Que ça soit simplement se détendre chacun sur une occupation différente en profitant de la présence de l’autre, ou en faisant une activité en commun. D'ailleurs, la foule, le public et les fichus gens ont tendance à être plus tolérables en présence d’une âme familière.

En parlant de relation, si Charlotte est d’un absolu flirt quand l’occasion se présente, n’attendez rien de plus que ça : du flirt. Au-delà, il s’agit de forger un lien, un vrai, et sachant qu’il est déjà difficile d’avoir une certaine connexion avec ses amis et même sa famille, autant dire que c’est un chemin compliqué. Ca, et accepter tout ce qui fait de Char, Char. En attendant, simple flirt amusé ou non, elle est d’un romantique à toute épreuve. Oh, et elle ne finira jamais dans le lit de qui que ce soit, qu’on soit bien clair là dessus aussi.

Sinon, Charlie est aussi d’un naturel assez protecteur, et si cela se manifeste davantage avec ses proches, si elle voit quelqu’un se faire emmerder, elle ne sera pas du genre à détourner le regard. Et si quelqu’un s’en prend à une personne qui lui est chère, soyez heureux que la loi condamne les meurtres pour vous protéger. Les inconvénients mineurs, disons qu’elle laisse la personne gérer, elle respecte trop les limites de chacun pour ça, mais insistez un peu trop à son goût et une remarque sèche ou un coup de poing peuvent partir très vite.

Charlotte a tendance à penser que les actes valent tous les mots du monde, d’autant plus qu’elle ne sait pas toujours exprimer ni ce qu’elle ressent ni ce qu’elle pense, surtout quand c’est positif, à vrai dire. Un peu paradoxal parce quand il faut poser des mots, à moins de vouloir rester dans la politesse absolue, elle sera d’une franchise à toute épreuve, et pas toujours bien placée. Un moyen facile de se faire détester la plupart du temps.

Si croiser Charlotte n’importe ou c’est croiser quelqu’un avec un regard qui a l’air de tuer, un visage ennuyé et une aura qui la rend peu abordable, Charlie-Du-Travail c’est tout autre chose. Elle est d’un professionnel à tout épreuve, un service impeccable, une concentration et une précision chirurgicale pour la confection des pâtisseries et boissons, cordiale, polie, serviable, souriante mais pas trop, et étrangement charismatique. Un masque professionnel parfait, à deux exceptions près : si le client se révèle être un connard, auquel cas il a une armée de Pokemon sur le dos en plus d’une Charlie qui ne tolèrera rien, et si le client est un régulier, et là, elle sera un peu plus familière, mais pas trop non plus, un peu taquine, un peu sympa, potentiellement un vrai sourire, un bonus dans la commande, ce genre de chose.




Charlotte est assez grande, d'une corpulence mince mais plutôt d’une façon athlétique, dû à la fois à son travail assez exigeant physiquement mais aussi un simple sport d’entretiens régulier. Elle n’est pas forcément musclée, à par peut être son dos sous l’effort, mais elle est dotée d’une force relative, et heureusement vu le poids des sacs industriels de farine.

Son apparence globale est très androgyne, si bien que d’un moment à un autre, selon sa tenue, sa coiffure, ses accessoires, si ses tattouages sont plus ou moins visible, les inconnus lui adresse “monsieur,” “madame”, ou bien “ma..mon…m… bonjour?” et toutes ses variétés en conséquence. La légende dit même que des clients du café ont cru que des jumeaux y travaillaient. Sa voix n’aide pas non plus, comme parfait exprès d’un timbre qui peut porter à confusion dans un sens comme dans l’autre.

Ses cheveux sont assez longs pour lui retomber sur les épaules quand ils sont lâchés, d’un bleu profond à la limite du violet, et d’un autre bleu plus clair et aquatique, le tout décoré d’une undercut rasée de près, consciencieusement entretenue. La façon de les coiffer dépend de son envie du moment. Une apparence plus masculine ? Ca sera surement un chignon, avec plus ou moins de mèches laissées libre. Quelque chose de plus féminin ? Lâchés, quelques mèches tressées, parfois l’undercut camouflée. Quelque chose un peu entre deux ? Les styles se mélangent facilement.

Ses yeux sont d’un rouge qui rappelle le rubis, tendant légèrement sur le pourpre, une couleur qui n’arrange pas son regard d’un naturel perçant. Le tout est orné d’éternels cernes, parce que le monde est épuisant.

Elle a aussi une sympathique collection de tatouages. Des lignes rappelant la nature décore le côté gauche de sa tête sous ses cheveux de quelques millimètres se dessinant jusqu’à sa tempe, un ensemble de simple cercle autour de son avant bras droit, sur le gauche, une fresque colorée allant de pins sous un ciel étoilé, remontant sur des nuages stylisés, des ronces qui s’entrelacent et finissant sur des roses. Et sur la quasi totalité de son dos - autant dire qu’à moins de la voir à la plage c’est un spectacle que peu de gens peuvent voir - un éclat de couleurs d’une forte stylisation d’un Oh-Ho, dont l’une des ailes rejoint l’épaule ornée de roses.

Côté vestimentaire, au travail, Charlie reste sur des tenues simple mais un peu classe, des assortiments de chemises, cravates, noeuds ou rubans, parfois un veston de tailleur, un pantalon ou une jupe, et évidemment des chaussures de sécurité. Tous ses bas sont généralement noir, les hauts plus colorés en restant très, très loin des couleurs trop claires, un accident est trop vite arrivé.

Dans le quotidien, c’est un peu tout et n’importe quoi. Il y aura des jours sac à patate en hoodie et jogging des couleurs les plus ennuyeuses à l’ensemble petit haut sympa coloré jupe et collant à motif, du T-shirt trop grand datant de son adolescence avec un logo de groupe de musique dessus et son short de sport le plus simple, au jean bien neuf très classe orné d’une petite chaîne avec une chemise bien repassée, et qui peut être blanche cette fois. Elle accessoirise à son bon vouloir, une jolie montre, bracelet ou collier en chaîne, sans oublier ses différents piercing aux oreilles avec lesquels s’amuser pour varier les style.





Ancien pokemon de la mère de Charlie, qui a beaucoup voyagé dans sa jeunesse. Très taquin envers Char, et adore l’embêter, mais aussi très protecteur, un peu comme un parent ou un grand frère. Ce n’est pas parce qu’il est vieux qu’il a oublié comment mettre une raclée si vous vous en prenez à son gosse humain.


Éternellement un bébé. Sur le chemin de la maison familiale, un jour de neige particulièrement… eh bien neigeux, Charlie s’est retrouvé avec ce petit frissonille dans le dos et ne s’en est rendu compte qu’une fois à destination. Toutes les tentatives de le relâcher ont échoué. Il a choisi d’être là et a décidé de rester là.

Une drôle d’histoire, cette rencontre. Durant un de ses nombreux vagabondages à la recherche du sens de la vie, Charlie a trouvé la mucuscule dans son sac, déjà tellement lourd de toutes ses affaires que le poids global n’avait pas semblé changé. Comme le témoigne ses antennes en forme de coeur, elle est pleine d’amour.


La seule rencontre normale et logique de tous ses compagnons. Un beau jour Charlie se retrouve avec deux Snow à la maison. Trop fatigué pour questionner le pourquoi du comment, Charlie décide que ça serait un problème pour Futur Charlie. Sauf que Futur Charlie s’est retrouvé avec deux Pudding, le lendemain. Le surlendemain, deux Missy… dont un souriant. Oui, le sourire était bien plus choquant que les deux yeux absurdement trop petits pour un Wimessir. Bref, le Métamorph était chez lui à ce stade alors autant le laisser là.



Autre : Double compte de Ralsen o/